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Vivre pour soi, vivre dans la cité, 2006, 336 p. -
Le rapport entre l'individu et la collectivité, aussi bien chez les anciens que chez les humanistes, qui redécouvrent et exploitent la méditation antique sur le moi social, forme l'enjeu de cette étude. Si le moi antique s'est élaboré, en particulier autour de l'humanitas cicéronienne, puis sous l'Empire, autour de la réflexion sur l'usage de soi dans la société, il est intéressant de constater que, de la culture de l'esprit et de l'entretien du corps à l'expérience-limite de l'exil, un héritage vivant s'est transmis et reformulé de manière originale chez les penseurs et les poètes de la Renaissance. La méditation sur le moi traverse les âges et les genres littéraires en écho à Cicéron et à ses héritiers de l'époque impériale, au rythme d'inflexions culturelles tantôt divertissantes, tantôt tragiques. L'influence qu'exerce sur les formes littéraires et les pratiques d'écriture la méditation sur le moi conclut le volume. Voir également Vivre pour soi, vivre dans la cité, La villa et l'univers familial de l'Antiquité et à la Renaissance, 2008 (référence 35390).
Référence : 35391.
Français
26,00 €
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